(...L’arbre est si grand que nous en oublions ses racines… Comment l’univers peut-il tenir dans une seule pupille ? Lorsque son corps se déchire, son âme assassine…
Nuit
Je profite de la nuit, De sa douceur infinie Afin d’être en équilibre Et de me sentir libre. J’imagine un monde Où l’amour abonde, M’inspirant d’elle, À côté des hirondelles, J’écris des aventures Parlant de notre nature, Car nous sommes sensibles Et décrivons l’indicible… ©Gökhan Demirel
Éternelles nuits.
Pensez... les fleurs du mal, Cette tendresse infernale. Au cœur de la nuit, pensez, Cette douceur qui nuit. Noir ou rouge, rouge ou noir, Dans l'étreinte final, il n'y a plus rien que l'on ne puisse boire. Quand la lumière laisse place à la beauté qu'elle n'est pas, Il n'est plus utile de voir, ce... Lire la Suite →