De fil en aiguille les roses ont éclos
Sous le chant matinal des oiseaux…
L’univers s’en est allé…
Éparpillé dans cette masse étoilée…
Et il reste un lampadaire
Pour le poète solitaire…
Mais l’atmosphère qui règne
S’en va après le gel et le peigne…
Miroir, miroir, mon sombre miroir…
Que crois-tu ?
– Les projecteurs sont éteints
Et la lumière fut !
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