Tout a commencé au bout de cette route;
à bout, j’ai tendu les bras pour un casse-croûte…
Le ciel est sombre sur ma tête mais j’encaisse;
au carrefour des oubliés j’ai fait des prouesses…
Je m’arrête parfois pour décrire l’immonde…
Aux habitants même de ce vaste monde…
Pour ainsi dire, les roses deviennent sombres
jusqu’à ce qu’elles se mêlent à nos ombres…
En nous emportant dans un rêve éveillé…
Où tout le monde est né programmé…
Même si, nourri par l’espoir…
Nous finissons enterrés dans le noir.
Alors j’avance coûte que coûte;
car ma vision va au-delà de cette route.
©GD
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