Nous parlons souvent de papillons… De fées, d’histoires d’amour et d’obstacles que nous gravissons… Des sentiments qui perdurent sous l’effet de ses aventures… À travers des paysages imaginaires présentés comme des peintures. Il est vrai que le Roman de l’humanité n’est pas évident mais bien souvent difficile… Ce n’est pas une simple toile mais une fresque peinte au-dessus du ciel comme un ancile. Perdu depuis un certain temps dans l’étendue de l’encre de ma plume, heureusement qu’ils me lisent et ne perçoivent pas le son de ma voix et son amertume. J’opte aujourd’hui pour la facilité, pour ce qu’elle a de semblable avec la difficulté. Puisque nous vivons dans un multivers, chacun de son côté tout en étant liés.
Oublions les feux d’artifices, nous sommes tous des artistes et nos vies sont nos édifices. Alors quoi de mieux que d’imploser en sentiments afin de partager au grand jour la richesse de notre calice…
Car il est parfois meilleur de se laisser guider, inspirer par ce qui émane déjà de vous… Puisque l’expérience de la vie c’est tout ce que nous avons aimé et caché que l’on s’avoue. Il y a toujours une différence entre ce que l’on attend de la vie et ce qu’elle attend de nous. L’œuvre est à la vie ce que la vie est à l’œuvre et l’esprit accueille les deux comme une noue.
©Gökhan Demirel
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