J’écris et décris par envie les mouvements de nos cœurs,
Même si je crie par ailleurs la grandeur de notre âme et nos peurs.
Les sourires et les pleurs que nos mots d’écrivent
Ou que nos gestes esquivent…
Au mieux, nous gardons un regard pieux,
Au pire nous parlons de nos fous rires…
C’est le monde de notre film en version longue durée,
Où l’on parle toutes les langues et l’on vit emmuré…
Le souffle court ou coupé,
Limité par l’intelligence de l’homme et du but qu’il s’est fixé…
Brisons l’obscurité via la lumière,
Allumons les torches au ciel d’où tombent déjà les luminaires…
Pris de passion par la pensée,
D’amour ou de joie dont la femme est l’accès…
J’écris mais j’décris pas au mieux l’homme et ses complexités.
Les crises de ses réflexions sans aucune subtilité.
Et je suis un homme rempli d’émotions et comblé de difficultés.
©Gökhan Demirel
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